Pourquoi ?
Parce que nous ne pouvons pas transporter au travail, nos attentes fortes (individuelles). Parce que le manager n’est ni une nounou, ni un G.O.
La sur-protection ne rend pas autonome, ne fait pas grandir et n’aide pas le collaborateur à savoir s’adapter aux changements.
Le « bonheur au travail » résulte plus de l’interaction avec ses collègues, de la qualité des contributions quotidiennes, de la fierté tirée de missions accomplies. L’argent est bien sûr important, mais c’est un moyen et non un but.
Etre challengés avec intelligence, avoir des objectifs ambitieux mais pas irréalistes, voilà ce que souhaiteraient beaucoup de salariés.
Et je citerai la phrase du psychologue hongrois Mihaly Csikszentmihalyi, qui souligne que le plus grand état de bien-être est atteint par les individus
lorsque leurs ressources intellectuelles et physiques sont utilisées jusqu'à leurs limites dans un effort volontaire en vue de réaliser quelque chose de difficile et d'important.
Et vous, quel dessein collectif proposez-vous?